C'est ici que vous trouverez les réponses au questions les plus courantes. Mais si vous ne trouvez pas la réponse à votre question, n'hésitez-pas à nous appeler au 01 48 75 94 79 ou à nous lassez un message via notre formulaire de contact
Est-ce qu'on peut venir même si on n'habite pas Fontenay ?
Oui, que vous soyez adolescent ou parent, si vous habitez Fontenay, Vincennes, Saint Mandé, Le Perreux, éventuellement aussi Nogent ou si vous êtes scolarisé dans un collège ou lycée des ces villes, nous pouvons vous recevoir. Vous pouvez telephoner pour prendre rendez vous ou passer dans nos locaux, vous y serez accueillis du lundi au vendredi de 10h à 13h et de 14h à 18h.
Moi, j’ai 15 ans et mes potes m’ont proposé de fumer un joint, j’ai pas osé refuser…j’ai peur d’être mis à l’écart si je dis « non » la prochaine fois…je me sens coincé…
Tu pointes une vraie difficulté qui arrive souvent quand on est adolescent. Comment dire « non », comment se positionner face à un groupe de copains sans être mis à l’écart. Oser dire « non » est une vraie victoire et ça s’apprend aussi. Tout le monde sait que c’est plus facile de se laisser aller à la tentation que d’y résister. On construit sa personnalité par rapport aux autres, certes, mais surtout en apprenant à s’affirmer.
Moi, je suis seule à la maison avec mes deux fils, je travaille toute la journée et parfois en soirée. Je n’ai plus d’autorité sur eux et la communication est de plus en plus difficile. Que faire ?
Venir en parler... C’est le premier pas pour faire avancer les choses. Se poser et prendre un minimum de temps pour soi est impératif, même quand l’emploi du temps est surchargé…
A la Maison de la prévention - Point écoute jeunes, nous avons mis en place, au début de chaque mois, une rencontre inter-parents. C’est un moment privilégié pour partager ses difficultés et ses limites, mais aussi pour donner son avis, partager ses idées sur la parentalité et l’éducation, mais aussi sur l’adolescence et le rôle de chacun dans l’éducation des enfants.
Vous pouvez aussi nous demander un rendez-vous individualisé.
A quoi ça sert de parler, moi je veux qu’on me donne des solutions !
« Parler, c’est agir », notre slogan n’a pas été choisi par hasard… En effet, parler, c’est rompre l’isolement dans lequel on peut se retrouver à certains moments de sa vie, c’est déjà agir et aller vers un changement souhaité.
Mettre en mots ses difficultés, doutes, craintes ou souffrances permet déjà de se libérer d’une charge émotionnelle envahissante ou d’un secret. Cela permet également de prendre de la distance avec le problème en question et d’élaborer progressivement ses propres solutions.
Au Point Ecoute, il est possible de parler avec un animateur de prévention ou un psychologue. Chacun ayant une façon professionnelle et complémentaire de voir et de traiter le problème avec vous et tous les entretiens sont confidentiels, anonymes et gratuit.
Un psychologue, mais je ne suis pas fou !
Consulter un « psy », contrairement à ce qu’on entend dire parfois, ne veut pas dire qu’on est fou, puisque tous les psy ont commencé par en consulter un !
Le psychologue est spécialement formé à l’écoute et à l’analyse des difficultés, troubles, questionnements ou problèmes que l’on peut être amené à rencontrer ou traverser dans sa vie.
Il ne cherchera pas les solutions à votre place, mais vous aidera à trouver les vôtres.
En tant que responsable d’une association de quartier, je suis intéressée par votre action en direction des femmes, vous n’abordez que les questions liées au cancer du sein ?
Nous travaillons dans les villes avec lesquelles nous avons des conventions de partenariat.
A Champigny-sur-Marne, jusqu’à présent cela a porté sur ce sujet mais du fait des évolutions dans les campagnes de dépistages des cancers, cela devrait changer pour ne pas se limiter à cela.
A Fontenay, en lien avec la Ville et les associations locales, nous intervenons plus globalement sur tous les thèmes de santé qui intéressent les femmes. Par exemple pour le 8 mars, journée internationale de la femme, nous organisons des actions spécifiques.
J’ai appris que dans le collège où va mon fils, il y a eu des distributions de préservatifs, est ce bien utile pour des enfants de 6ème ou 5ème ?
Généralement nous ne faisons pas, à l’inverse des lycées, des distributions massives de préservatifs dans les collèges.
Par contre nous pouvons en parler et en diffuser lors des interventions qui portent sur la sexualité et la prévention des risques VIH.
Il est important que les collégiens avant même les premiers rapports sexuels connaissent les risques (y compris de grossesse non désirée) et la manière de s’en protéger.
Il faut dire également que, même si ce n’est pas la majorité, un certain nombre d’adolescent-es connaissent leur premier rapport sexuels à l’âge du collège (14, 15 ans).
Par ailleurs, il arrive assez fréquemment que des collégiens (majoritairement des garçons) poussent la porte de l’association pour venir demander des préservatifs, nous leur en donnons en même temps que de la documentation sur la sexualité, la contraception, les risques VIH… C’est surtout l’occasion de leur parler et de leur dire que nous sommes à leur disposition
On m’a dit que le Point écoute, c’est pour les jeunes mais aussi pour les parents. Est ce que je risque de croiser les miens ?
On reçoit effectivement les jeunes et les parents, il est possible de venir accompagné des siens ou d’effectuer un entretien en famille, mais chacun peut consulter individuellement un psychologue différent et avoir son « propre » espace de parole.
Vous parlez des vieux travailleurs migrants dans les foyers, mais il n’y a pas qu’eux, j’ai une amie qui est hébergée dans un foyer parce qu’elle n’a pas trouver de studio, c’est trop cher. Est-ce que vous vous en occupez ?
Vous avez raison, beaucoup de foyers migrants se transforment en résidence sociale où sont accueillies des personnes très diverses, hommes, femmes, jeunes, étudiants, chômeurs, allocataires du RMI… qui n’ont pas eu la possibilité d’avoir accès au logement.
Nous essayons de prendre en compte ce nouveau public mais ce n’est pas très facile parce qu’en général ces personnes sont davantage isolées et moins intéressées par nos actions collectives. Les femmes et les jeunes en particulier n’ont que peu de relations avec les autres résidents plus âgés et anciens dans le foyer où ils se considèrent plus comme « chez eux ».
J’ai vu une émission effrayante à la télé sur l’alcool chez les étudiants, est ce un exagération médiatique ou une réalité qui nous échappe encore ? Qu’est ce qu’on peut faire en tant que parents pour aborder la question de l’alcool avec nos enfants ?
Nous aussi avons vu cette émission, elle confirme ce que nous constatons nous même chez un certain nombre de jeunes, étudiants ou pas : la recherche de l’ivresse rapide la « défonce », les anglais appellent ça le « binge driking », plus généralement on constate une évolution chez les jeunes de la manière de consommer de l’alcool : ce n’est pas tous les jours, rarement pendant les repas (peu de consommation de vin) mais pour faire la fête, entre copains, associé ou pas avec du cannabis.
Le plus souvent, les jeunes mais aussi les parents sous-estiment les risques réels de cette prise d’alcool : évidemment risques au volant mais aussi de comportements violents, rapports sexuels pas réellement consentis, souvent non protégés… Et puis alcoolisation répétitive qui peut amener rapidement à la dépendance…
Il y a une multitude de raisons pour lesquelles les jeunes (et les moins jeunes) prennent de l’alcool : pour faire comme tout le monde, parce que ça procure du plaisir, pour être plus sûr de soi, pour lever des angoisses, pour se sentir moins seul…
L’alcool il faut oser en parler tranquillement, du plaisir aux risques, apprendre chacun à mettre sa propre limite, se sentir et être responsable de soi…
C’est un des sujets que nous abordons dans les ateliers avec les adolescents et dans les rencontres parents que nous organisons régulièrement.
Laissez nous vos coordonnées, nous vous inviterons aux prochaines rencontres sur ce sujet.
Je n’ai pas besoin de faire une psychothérapie, mais juste de parler un peu…
On ne fait pas de psychothérapies à la Maison de la prévention - Point écoute jeunes, le lieu n’étant pas approprié pour ce type de travail. Néanmoins, nous proposons un soutien et un accompagnement psychologique, qui consiste à évaluer avec vous, les difficultés et la manière dont nous pouvons vous aider à les résoudre. Nous pouvons évaluer et discuter avec vous, si cela vous intéresse ou s’avèrerait nécessaire de l’intérêt d’entamer un travail thérapeutique et vous orienter vers les structures ou professionnels adaptés.
Mon fils est en échec scolaire et les mots sur son carnet de correspondance ne cessent de me rappeler qu’il est en difficulté et même en souffrance. Le problème c’est que mon fils ne viendra jamais au point écoute et les psys, il ne veut pas en entendre parler… Que puis je faire ?
Il semblerait en effet que votre fils soit en difficulté et/ ou en souffrance. Ce qu’il exprime ou agit dans son école peut être une façon d’alerter les adultes sur son mal-être.
Dans un premier temps, il serait bon de parler avec lui et de l’aider à mettre des mots sur ses difficultés. S’il se bloque ou refuse toute discussion ou dit que « tout va bien », il serait judicieux de lui dire que vous-même, vous avez le besoin de parler à quelqu’un pour mieux le comprendre et vous aider vous-même dans la relation avec lui.
On m’a dit que le Point écoute, c’est pour les jeunes mais aussi pour les parents. Est ce que je risque de croiser les miens ?
On reçoit effectivement les jeunes et les parents, il est possible de venir accompagné des siens ou d’effectuer un entretien en famille, mais chacun peut consulter individuellement un psychologue différent et avoir son « propre » espace de parole.
Vous parlez des vieux travailleurs migrants dans les foyers, mais il n’y a pas qu’eux, j’ai une amie qui est hébergée dans un foyer parce qu’elle n’a pas trouver de studio, c’est trop cher. Est-ce que vous vous en occupez ?
Vous avez raison, beaucoup de foyers migrants se transforment en résidence sociale où sont accueillies des personnes très diverses, hommes, femmes, jeunes, étudiants, chômeurs, allocataires du RMI… qui n’ont pas eu la possibilité d’avoir accès au logement.
Nous essayons de prendre en compte ce nouveau public mais ce n’est pas très facile parce qu’en général ces personnes sont davantage isolées et moins intéressées par nos actions collectives. Les femmes et les jeunes en particulier n’ont que peu de relations avec les autres résidents plus âgés et anciens dans le foyer où ils se considèrent plus comme « chez eux ».
J’ai vu une émission effrayante à la télé sur l’alcool chez les étudiants, est ce un exagération médiatique ou une réalité qui nous échappe encore ? Qu’est ce qu’on peut faire en tant que parents pour aborder la question de l’alcool avec nos enfants ?
Nous aussi avons vu cette émission, elle confirme ce que nous constatons nous même chez un certain nombre de jeunes, étudiants ou pas : la recherche de l’ivresse rapide la « défonce », les anglais appellent ça le « binge driking », plus généralement on constate une évolution chez les jeunes de la manière de consommer de l’alcool : ce n’est pas tous les jours, rarement pendant les repas (peu de consommation de vin) mais pour faire la fête, entre copains, associé ou pas avec du cannabis.
Le plus souvent, les jeunes mais aussi les parents sous-estiment les risques réels de cette prise d’alcool : évidemment risques au volant mais aussi de comportements violents, rapports sexuels pas réellement consentis, souvent non protégés… Et puis alcoolisation répétitive qui peut amener rapidement à la dépendance…
Il y a une multitude de raisons pour lesquelles les jeunes (et les moins jeunes) prennent de l’alcool : pour faire comme tout le monde, parce que ça procure du plaisir, pour être plus sûr de soi, pour lever des angoisses, pour se sentir moins seul…
L’alcool il faut oser en parler tranquillement, du plaisir aux risques, apprendre chacun à mettre sa propre limite, se sentir et être responsable de soi…
C’est un des sujets que nous abordons dans les ateliers avec les adolescents et dans les rencontres parents que nous organisons régulièrement.
Laissez nous vos coordonnées, nous vous inviterons aux prochaines rencontres sur ce sujet.
Je n’ai pas besoin de faire une psychothérapie, mais juste de parler un peu…
On ne fait pas de psychothérapies à la Maison de la prévention - Point écoute jeunes, le lieu n’étant pas approprié pour ce type de travail. Néanmoins, nous proposons un soutien et un accompagnement psychologique, qui consiste à évaluer avec vous, les difficultés et la manière dont nous pouvons vous aider à les résoudre. Nous pouvons évaluer et discuter avec vous, si cela vous intéresse ou s’avèrerait nécessaire de l’intérêt d’entamer un travail thérapeutique et vous orienter vers les structures ou professionnels adaptés.
Mon fils est en échec scolaire et les mots sur son carnet de correspondance ne cessent de me rappeler qu’il est en difficulté et même en souffrance. Le problème c’est que mon fils ne viendra jamais au point écoute et les psys, il ne veut pas en entendre parler… Que puis je faire ?
Il semblerait en effet que votre fils soit en difficulté et/ ou en souffrance. Ce qu’il exprime ou agit dans son école peut être une façon d’alerter les adultes sur son mal-être.
Dans un premier temps, il serait bon de parler avec lui et de l’aider à mettre des mots sur ses difficultés. S’il se bloque ou refuse toute discussion ou dit que « tout va bien », il serait judicieux de lui dire que vous-même, vous avez le besoin de parler à quelqu’un pour mieux le comprendre et vous aider vous-même dans la relation avec lui.